Monday, April 16, 2007

Rond Carré Triangle?

6 Comments:

Anonymous Anonymous said...

L'ensemble de l'équipe (dans laquelle je suis seul mais loin d'être désespéré...) est fière de vous annoncer que vous êtes lauréate au grand concours Undercover de dactylo... première haut la main loin devant tiffany... La terrine que nous avions prévu de vous décerner étant périmée, nous vous proposons un dorito une une tranche de cheddar ou une orange.
triangle carré rond

6:21 PM  
Anonymous Anonymous said...

jeunesse décadente

3:26 AM  
Anonymous Anonymous said...

Les Furies sont des divinités romaines persécutrices, concordant avec les Érinyes grecques.
Dans la mythologie grecque, les Érinyes (en grec ancien Ἐρινύες / Erinúes, d'ἐρίνειν / erínein, « pourchasser, persécuter ») sont des divinités persécutrices. Elles sont aussi appelées Euménides (grec Εὐμενίδες / Eumenídes, « les bienveillantes »), antiphrase utilisée par crainte de prononcer leur nom véritable. Selon la tradition, ce nom aurait été utilisé pour la première fois après l'acquittement d'Oreste par l'Aréopage (voir ci-dessous). À Athènes, on utilise dans le même esprit la périphrase σεμναὶ θεαί / semnaì theaí, « vénérables déesses ». On les appelle aussi χθόνιαι θεαί / chthóniai theaí, « déesses infernales ».
Elles correspondent aux Furies (en latin Furiæ ou Diræ) chez les Romains.
Sommaire
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1 Ascendance
2 Rôle
3 Tragédie d'Eschyle
4 Culte
5 Sources
6 Voir aussi
6.1 Articles connexes
6.2 Bibliographie
6.3 Lien externe
Ascendance [modifier]

Filles de Gaïa et du sang d'Ouranos mutilé d'après Hésiode, ce sont des divinités chtoniennes. Leur nombre reste généralement indéterminé, quoique Virgile, s'inspirant sûrement d'une source alexandrine, en dénombre trois :
Tisiphone (la Vengeresse du meurtre) ;
Mégère (l'Ensorceleuse) ;
Alecto (l'Implacable).
Épiménide en fait les sœurs des Moires, filles de Cronos et d'Eurynomé, Eschyle les filles de Nyx (la Nuit), Sophocle les filles de Gaïa et de Scotos, la Ténèbre. Dans les traditions orphiques, elles naissent d'Hadès et de Perséphone (cet attachement au monde infernal se retrouve également dans l'Iliade).
Rôle [modifier]

Divinités anciennes, elles ne sont pas soumises à Zeus et habitent l'Érèbe (ou le Tartare, suivant les traditions), le monde du dessous, se reposant jusqu'à ce qu'elles soient de nouveau appelées sur Terre. Malgré leur ascendance divine, les dieux olympiens éprouvent une profonde répulsion pour ces êtres qu'ils ne font que tolérer. De leur côté, les hommes les craignent et les fuient. C'est cette marginalisation et le besoin de reconnaissance qu'il entraîne qui, chez Eschyle, amènent les Érinyes à accepter le verdict d'Athéna et ce malgré leur inépuisable soif de vengeance.
Elles personnifient la malédiction lancée par quelqu'un et sont chargées de punir les crimes pendant la vie de leur auteur, et non après. Toutefois, leur champ d'action étant illimité, si l'auteur du crime décède, elle le poursuivront jusque dans le monde souterrain. Justes mais sans merci, aucune prière ni sacrifice ne peut les émouvoir, ni les empêcher d'accomplir leur tâche. Elles refusent les circonstances atténuantes et punissent toutes les offenses contre la société et à la nature tels que le parjure, la violation des rites de l'hospitalité et surtout les crimes ou l'homicide contre la famille. À l'origine, les êtres humains ne peuvent ni ne doivent punir les crimes horribles. Il revient aux Érinyes de poursuivre le meurtrier de l'homme assassiné et d'en tirer vengeance. Némésis correspond à une notion semblable, et sa fonction recouvre celle des Érinyes.
Ces divinités vengeresses hideuses ont :
de grandes ailes ;
des serpents pour cheveux ;
des fouets et des torches ;
du sang qui coule de leurs yeux.
Elles ont été comparées aux Gorgones, aux Grées ainsi qu'aux Harpies en raison de leur apparence effrayante et sombre et du peu de contact qu'elles entretiennent avec les dieux olympiens.
Elles tourmentent ceux qui font le mal. Elles les poursuivent inlassablement sur la terre en les rendant fous. Au sens large, les Érinyes sont les protectrices de l'ordre établi. Dans l'Iliade, elles ôtent la parole à Xanthe, le cheval d'Achille, et privent Phœnix de descendance. Le philosophe Héraclite dit que si le soleil décidait de renverser sa course, elles l'en empêcheraient. COURAGE FUYONS!!!!!

1:30 PM  
Blogger Unknown said...

la reification. Voilà une triste chose. Heureusement il y a le champagne.

3:32 PM  
Anonymous Anonymous said...

Absolut Vanilla, Absolut Pêche, Zub, tentative de champagne/fraise/vodka contre champagne tout court.
Choisis ton camps Dactylo!

12:46 AM  
Anonymous Anonymous said...

Scholie : J'ai épuisé tout ce que je m'étais proposé d'expliquer touchant la puissance de l'âme sur ses passions et la liberté de l'homme. Les principes que j'ai établis font voir clairement l'excellence du sage et sa supériorité sur l'ignorant que l'aveugle passion conduit. Celui-ci, outre qu'il est agité en mille sens divers par les causes extérieures, et ne possède jamais la véritable paix de l'âme, vit dans l'oubli de soi-même, et de Dieu, et de toutes choses ; et pour lui, cesser de pâtir, c'est cesser d'être. Au contraire, l'âme du sage peut à peine être troublée. Possédant par une sorte de nécessité éternelle la conscience de soi-même et de Dieu et des choses, jamais il ne cesse d'être ; et la véritable paix de l'âme, il la possède pour toujours. La voie que j'ai montrée pour atteindre jusque-là paraîtra pénible sans doute, mais il suffit qu'il ne soit pas impossible de la trouver. Et certes, j'avoue qu'un but si rarement atteint doit être bien difficile à poursuivre ; car autrement, comment se pourrait-il faire, si le salut était si près de nous, s'il pouvait être atteint sans un grand labeur, qu'il fût ainsi négligé de tout le monde ? Mais tout ce qui est beau est aussi difficile que rare.

4:27 AM  

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